"La mort est à l'opposé de la beauté. On vit dans cet univers, j'ai envie de le décrire : théâtre, poésie, nouvelles, romans littéraires comme on dit, ou polars, peu importe… J'aime tous les genres, toutes les formes d'expression."
Mes étés d’écrivains (Belfond, 2003)
Les films de Pierre Bourgeade
Le Corps de Diane (France‑Tchécoslovaquie, 1968)
Fiche technique. Réalisation : Jean-Louis Richard. Adaptation : Jean‑François Hauduroy et Jean‑Louis Richard d’après le roman de François Nourissier. Dialogues : Pierre Bourgeade. Société de prod. : Renn Productions (Paris), Carla Films, Ceskoslovensky Films (Praha). Distributeur : Valoria. Directeur de la photographie : Miroslav Ondricek. Musique : Antoine Duhamel.
Interprètes : Jeanne Moreau (Diane), Charles Denner (Julien l'architecte), Joëlle Latour (Geneviève, la danseuse), Henri‑Jacques Huet (le directeur Motel), Elisabeth Wiener (Béatrice), James Sparlow (Agamemnon), Jérôme Richard (Jérôme), Zuzana Ruzickova, Pierre Bourgeade (consommateur au café « Chez Francis »).
Caractéristiques techniques. Durée : 90 min. Couleurs : Eastmancolor. Son : mono. Dates de sortie : 28 mai 1969 (France), 14 novembre 1969 (Tchécoslovaquie), 13 mars 1970 (Finlande), 28 mai 1970 (Argentine).
Synopsis : dans un théâtre de Prague, Julien retrouve Diane, une amie décoratrice. Une histoire d’amour débute entre eux, mais Julien supporte mal le mystère de cette femme aussi belle qu’indépendante. Ses incessantes questions ne semblent qu’épaissir les mensonges et les contradictions de Diane. Le mariage et le retour à Paris n’arrangent pas le tourment paranoïaque de Julien qui, inspiré par le dramaturge Kleist, décide d’organiser un suicide commun en Bohème, sur les lieux de naissance de leur amour. Dans ce drame romantique aux couleurs automnales, Jeanne MOREAU interprète à nouveau une femme fatale, insaisissable et déchirée, refusant de sacrifier sa liberté à son amour pour Julien. Ce dernier, séducteur jaloux interprété par Charles DENNER, se débat dans les rets de sa frustration et se heurte à l’opacité de la vie d’artiste de Diane avec un désespoir poignant.
Commentaire de Pierre Bourgeade : "J'ai fait un dialogue officiel pour Jeanne Moreau, son plus mauvais film en 1968 - Le Corps de Diane d'après un roman de Nourissier - j'étais scénariste. On s'est trompé, c'était une erreur. J'écrivais des petits scénarios comme ça, et je crois que c'est par François Nourissier ou Jean-Louis Richard, le metteur en scène qui était le mari de Jeanne Moreau à l'époque. Mes deux premiers livres avaient eu un certain succès dans le petit monde littéraire."Propos recueillis par Simone Balazard.
Autres titres : Diane's Body (international) ; El cuerpo de Diana (Argentine) ; O Corpo de Diana (Brésil) ; Telo Diany (Tchécoslovaquie) ; Diane (Finlande) ; Il corpo di Diana (Italie) ; Diane, en kvinne ? (Norvège).
Prélude à la vie sexuelle (Belgique, 1977)
Autres titres :
Liefde in vrijheid (titre original) ;
L'Amour en liberté (Belgique) ;
Love in Freedom (international).
Fiche technique. Réalisation, scénario et production : Jacques Kupissonoff. Producteur : João Michiels. Dialogues : Pierre Bourgeade et Jacques Kupissonoff. Société de production : Proeuropa. Société de distribution : Seine Distribution. Musique : Ralph Darbo. Images : Roland Delcour. Montage : Christine Campus, Jacques Kupissonoff, Francis de Laveleye. Assistants réalisation : Christine Campus et Francis de Laveleye. Son : Fred De Waele. Animations : Raoul Servais et Véronique Steeno.
Interprètes : Pierre Bourgeade (commentateur français), George Perros (narrateur français), Clem Schouwenaars (commentateur allemand), Pros Verbruggen (narrateur allemand).
Caractéristiques techniques. Durée : 76 min. (1h16). En couleur. Date de sortie : 18 mai 1977 (France).
Un Rosa und Marilyn und (Allemagne, 1977)
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Réalisation : Hans Neuenfels. D’après la pièce de Pierre Bourgeade Étoiles rouges. Images : Rolf Paulerberg. Interprètes : Elisabeth Trissenaar (Marilyn Monroe), Christiane Bruhn (Rosa Luxembourg), Jacob Steinbrenner, Vera Hühnermann, Günter Milius, Ulrich Hass, Hans Neuenfels, Gottfried Jjohn. Durée : 1h40. Télédiffusion : 14 juillet 1977 (BR Deutschland, ZDF Kleines Fernsehspiel). Projection : Filmfestival Rotterdam (1978). Réf. in L’Objet humain p. 11.
L'Armoire (France, 1982)
Le Petit Théâtre d'Antenne 2. Réalisation : Paul Planchon. Scénario : Pierre Bourgeade d’après son roman (Gallimard, 1976). Interprètes : Françoise Brion (Ulricke), Michael Lonsdale (Focker), Jean‑Pierre Laurent (le chef de la police) et Éric Dod (policier). Durée : 30 min. Télédiffusion : 1er novembre 1982 (Antenne 2).
Palazzo Mentale (France, 1986)
Réalisation : Georges Lavaudant. Adaptation et dialogues : Pierre Bourgeade d’après sa pièce de théâtre créée par Lavaudant en 1976 et reprise au TNP en 1986.
- Rencontres cinématographiques du Festival d’Avignon, au Palace, jeudi 23 juillet 1987, 17h.
- Projection à la Vidéothèque de Paris, dimanche 6 octobre 1996, de 11h à 13h, dans le cadre de la manifestation « Georges Lavaudant : une œuvre à questionner » organisée par l’Académie expérimentale des Théâtres.
- Projection dans le cadre de « Films de Théâtre », le lundi 11 juin 2001 au Forum des Images (Porte Saint-Eustache, 2 Grande Galerie, Nouveau Forum des Halles 75001 Paris).
Léon Blum à l'échelle humaine (France, 1986) (téléfilm)
Caractéristiques techniques. Réalisation : Jacques Rutman. Scénario et dialogues : Jacques Rutman et Pierre Bourgeade. Conseiller : Jean Lacouture. Musique originale : Francis Lemarque et Michel Korb. Décors : Bernard Pagnier. Directeur de la photographie : Yvan Favreau. Costumes : Michèle Susini, Lisèle Roos, Gina Houdot et Claude Zotitch.
Interprètes : Alain Mottet (Léon Blum), Elza Oppenheim (Lise), Catherine Hubeau (Janot), Reine Bartève (Marie Blum), Michèle Marcey (Constance), Lucie Arnold (Mme Massardy), Bernard Freyd (Auguste Blum), Pierre Devilder (Edouard Herriot), Pierre Decazes (Max Dormoy), Maurice Vallier (Xavier Vallat), Max Vialle (l’huissier Matignon), Jacques Maire (Granet), Gladys Gould (Suzanne), Artus de Penguern (M. Rabinof), Pierre Belot (Lesueur), Yvon Sarray (le Président Caous), Bernard Armbruster (Jules Renard), François Rostain (Renaud), Alain Clair (1er journaliste), Paul‑Yvon Colpin (2e journaliste), Christian Van Cau (1er technicien radio), Bernard Hervé (2e technicien radio), Daniel Léger (correcteur journal), Michaël Jacob (Joachim), Steve Gadler (Campbell), Jean Marcellot (Gardien Chazeron), Georges Montant (geôlier Riom), Brigitte Sauvane (chanteuse), Francis Lemarque (le chanteur), Pierre Mottet (Léon Blum jeune), Monic Dartbois (Thérèse), Anne Bellec (Renée), Gilette Barbier (Émilienne), Nane Germon (la vieille Tante), Jean Badin (Lucien Herr), Mario Pilar (Blumel), Robert Ohniguian (Jules Moch), Jacques Famery (Paul Reynaud), Jean‑Pierre Hutinet (Georges Mandel), Rodolfo de Souza (José Asua), Paul Bisciglia (crieur de journaux), Pascal Renwick (Vineux), Guy Verda (Jean Marcellot), Serge Vincent (huissier de justice), Michel Duplaix (le Commissaire Romieux), Alain Bonneval (garde mobile), Guy Dhers (gendarme Tunnel), Michel Lairot (accordéoniste), Frédéric Lambre (le gardien Bourrassol), Georges Lucas (M. Massardy), Franz Sauer (officier de l’état civil), André Schmit (vigneron), Marc Vallée (Capitaine Lussac) et Frédéric Pottecher.
Caractéristiques techniques. Durée : 3h. Diffusion : le mercredi 28 mai 1986 sur TF1 (20h35-23h35).
Note : film réalisé à l’occasion du 50e anniversaire de l’arrivée au pouvoir du Front populaire, avec la participation du Ministère de la Culture et de la Fédération nationale Léo Lagrange. Ses auteurs ont choisi d’éclairer la figure dominante de cette coalition, Léon BLUM, premier socialiste à devenir Président du Conseil le 6 juin 1936. Différents épisodes de sa vie ont été reconstitués, filmés en noir et blanc, afin de s’intégrer aux documents d’archives. Flash-back, témoignages, fiction et documents se mêlent pour évoquer l’affaire DREYFUS, la Grande Guerre, la scission du congrès de Tours, l’émeute du 6 février 1934, le Front populaire, la guerre d’Espagne, la Seconde Guerre mondiale. à Voir revue de presse et dossier de Jean-Louis FRANCK.
Alain Mottet dans le rôle
de Léon Blum.
Biographie de Jean Lacouture, conseiller sur le téléfilm.
Quartier nègre (France, 1990)
Titre anglais : Cartier negre
PRIX DU PUBLIC ET DE LA PHOTOGRAPHIE, MONTE‑CARLO, 1990
Fiche technique. Réalisation : Pierre Koralnik. Scénario : Pierre Bourgeade et Pierre Koralnik d’après le roman de Georges Simenon (1935). Production : Pierre Grimblat. Coproduction : Hamster Production/TFI dans la série « Les Grands Simenon ». Musique : Louis Crelier. Costumes : Susana Rios et Micheline Tercier. Durée : 89 min.
Interprètes : Tom Novembre (Joseph Dupuche), Fabienne Babe (Germaine), Jean‑Paul Roussillon (Tsé Tsé), Jacques Denis (Léon Monti), Jérôme Anger (Christian), Capucine, Jean‑Pierre Castaldi, Daniel Jordan (le touriste anglais), Pierre Bourgeade (un planteur à Cuba), Daniel Fillion, Bérangère Mastrangelo.
Synopsis : En 1937, le jeune ingénieur Joseph Dupuche décroche un poste en Équateur. Il débarque avec sa femme à Panama. Promis à un avenir radieux et aisé, ils déchantent lorsqu’ils découvrent que la mine est fermée. Les voilà pris au piège sous les tropiques... Séparés par la pègre en place dans les villes, elle reste blanche parmi les Blancs, tandis que lui part s'installer avec les natifs, dans le quartier nègre, justement.
Tom Novembre dans le rôle
de Joseph Dupuche.
Roman de Georges Simenon (Folio policier n° 426, 2006)
Note : Adapté d'un roman de Georges SIMENON, le film de Pierre KORALNIK revient sur les sombres années coloniales. Pas de crime, ni de meurtre, seule une lente expérience de la marginalité occupe ce film tourné en 35 mm à Cuba. A l'image de son Joseph, ralenti par la chaleur et l'ignorance (incarné par Tom NOVEMBRE, flegmatique à souhait), Quartier nègre prend un temps fou, s'attarde sur les détails, cesse de progresser tout en restant d'une richesse étonnante.
La Table d'émeraude (France, 1991)
Titre primitif : L'Éloge de la lecture.
Fiche technique. Réalisation : Pierre Bourgeade. Scénario : Pierre Bourgeade. 1er assistant : Laurent Bouexière. Image : Laeticia Masson. Assistant : Jean-Yves Bruyas. Son : Florent Lavallée. Assistant : Philippe Amoureux. Scripte : Nathalie Masduraud. Décors : Pierre Attrait. Assistant : Bettina von den Steiner, Béatrice Poirié. Maquillage : Chrystele Lerouyer, Carole Menny et Isabelle Piquarel pour Adimol. Stagiaire : Félix Sinetamuc. Montage : Cécile Decugis avec les moyens techniques de la FEMIS et l’aimable concours d’Henri Colpi. Production : Grec (Groupe de recherches et d’études cinématographiques).
Interprètes : Eva Ionesco (la cliente), Michael Lonsdale (le libraire), Marie-Noëlle Kauffman, Hannelore Möller, Catherine Saga et Yannick Salomé (lectrices). Durée : 8 min.
Note : présentation en compétition au Festival du Film international francophone de Namur 1992.
Ouverture Zéro (France, 1998) (court métrage)
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Fiche technique. Réalisation : Éric Pinatel. Musique : Dominique Verdan. Montage : Christian Billette. Interprètes : Pierre Bourgeade et Marina De Luca. Lieux de tournage : terrasse du Flore, les hauteurs de Meudon, les studios de l’Arsenal. Durée : 10 min.
Remarque : « Un vieil homme a rendez-vous avec une belle jeune femme à la terrasse d’un café. Comment se sont-ils rencontrés ? Mystère. Peut-être la femme a-t-elle été attirée par le visage de cet homme, peut-être se fait-elle payer ? On n’en sait rien. Lors du rendez-vous, le couple convient de se retrouver plus tard. Dans l’intervalle, la femme va fouiner dans un magasin de lingerie. Elle y mate, et y drague, une autre cliente qui est en train d’essayer des dessous, et qu’elle oblige à se plier à ses propres fantasmes – qui ne sont pas forcément ceux du monsieur. Quand elle ira retrouver ce dernier, elle aura dans sa tête des images différentes de celles qu’il convoite : il approche l’Eros en homme et elle en femme. Ce propos, illustrant sans détour le décalage intime masculin/féminin, me convient. » Pierre Bourgeade.
Voir : BOURGEADE, Pierre. « Acteur studieux » (journal du tournage du film), Les Inrockuptibles, 29 juillet-18 août 1998, n° 160 spécial été « Génération X : dossier porno », p. 34-35. ISSN 0298-3788
L’Étape (France, 2000) (court-métrage)
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Fiche technique : Réalisation : Éric Pinatel. Coproducteur : Laurent Lesperon. Scénario : Éric Pinatel et Pierre Bourgeade d'après Le Motel, nouvelle de Pierre Bourgeade extraite du recueil Eros mécanique. Directeur de la photogr. : Nicolas Testas. Ingénieur du son : Yves Coméliau. Décorateur : Catherine Mananes. Costumes : Claire Gérard-Hirne. Monteur : Christian Billette. Production déléguée : Sésame Films. Producteur délégué : Florence Borelly. Coproduction : Les Films Jack Fébus.
Interprètes : Georges Peyrou, Agnès Sourdillon et Marie Henriau.
Caractéristiques techniques. Durée : 26 min. N° de visa : 97.512. Visa délivré le : 15/09/2000. Couleur. Format de prod. : super 16. Format de projection : 35 mm. Cadre : 1,85. Format de son : Dolby SR. Télédiffusion : 29 octobre 2001 (Arte).
Présentation en compétition au Festival « Côté court » de Pantin (93500), 2001.
Synopsis : Un soir, après l’enterrement d’un ami, un homme de soixante-dix ans s’arrête pour passer la nuit dans un hôtel. Il y fait connaissance de la serveuse, pressée de fermer la salle de restaurant déserte de l’hôtel, pressée d’aller se coucher après sa journée de travail.
Vidéo
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L’Intention qui compte (série Les Enquêtes d’Éloïse Rome. Épisode n° 10 de la série. Épisode 4 de la saison 2) (2002)
Fiche technique. Réalisateur : Edwin Baily. Assistants réalisateur : Thomas Brutschi, Daniel Dittman et Aurélie Surjus. Scénario et dialogues : Philippe Setbon. D’après une nouvelle originale de Pierre Bourgeade. Sociétés de production : Escazal Films & France 2. Production délégués et conception de la série : Sophie Révil et Philippe Setbon. Producteurs délégués : Sophie Révil et Denis Carot. Musique générique : Bernard Grimaldi. Image : Michel Cenet. Son : Daniel Ollivier. Montage : Isabelle Dedieu. Décor : Jean-Jacques Gernolle. Directeur de la production : Frédéric Lary. Costumes : Annie Thiellement.
Interprètes : Christine Citti (Éloïse Rome), Jean-Baptiste Martin (Éric Nell), Marc Berman (Damien Lespéré), François Caron (Yves), Smaïl Mekki (Jacques Lasry), Michel Melki (agent main courante), Fabio Zenoni (Roland), Christophe Odent (Michel Ganz), Agathe Dronne (Ondine), Pascaline Girardot (Madeleine Théron), Claire Duhamel (Madame Debanne), Aude Briant (Elizabeth Théron), Micheline Dieye (Jeanne), Dominique Frot (Flo), Jean-Luc Borras (agent 1), Désirée Olmi (agent 2), Thierry Ragueneau (Barman), Nicolas Ullmann.
Caractéristiques techniques. Durée : 52 min. Télédiffusions : 27 septembre 2002 (France 2), 15 octobre 2004 (France 2), 27 septembre 2002 (câble belge France 3).
Résumé : une riche vieille dame a été assassinée dans son lit par un individu qui avait les clés de son appartement. Le capitaine Rome et le lieutenant Nell se rendent chez le neveu de la victime, qui est aussi son unique héritier. Il a un alibi solide. Le lendemain, l'assistante d'un maire de la banlieue parisienne trouve à son tour la mort. Mais là encore, le maire ne peut être mis en cause. Éloïse découvre alors que les deux hommes se connaissent. Elle est convaincue qu'ils ont eu recours à un échange de meurtres.
La Spectatrice (France, 2002) (action-vidéo)
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Réalisation : Éric Pinatel. Scénario et dialogues : Pierre Bourgeade d’après sa nouvelle (Les Boxeurs, Tristram, 2003). Interprètes : Pierre Bourgeade et Marie Morel. Durée : 15 min. Contre-salon du Livre La Maroquinerie 2002.
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Dog's Philosophy : performance (France, 2003) (action-vidéo)
Scénario : Pierre Bourgeade et Marie Morel. Durée : 20 min.
Projection à la Galerie Maisonneuve (24‑32 rue des Amandier 75020 Paris. Tel. 01 43 66 23 99. Mail : contact@galerie‑maisonneuve.com ; lovehotel@saintmonday.net) le samedi 24 mai 2003 à 20 h. dans le cadre de l’exposition de Jota Castro : "Lovotel". Une chambre d’hôtel installée dans la galerie à visiter librement pendant 50 jours, à louer pendant 50 nuits (5 avril – 24 mai 2003) <www.galerie‑maisonneuve.com/castro/lovehotel/>
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Dog's Philosophy 2 (France, 2003) (action-vidéo)
Réalisation : Patrice et Jean‑Luc Leblanc. Scénario : Pierre Bourgeade et Marie Morel. Durée : 25 min. Tournage : le 12 décembre 2003 au Centre Jean‑Vigo à Bordeaux.
Action réalisée dans le cadre de « À propos du corps », rencontre internationale sous la présidence du Pr Jean‑Michel DEVÉSA, Université Michel de Montaigne, Bordeaux 3.
L'Écrivain et son chien (France, 2003)
Fiche technique. Production : « Bazar Films ». Réalisation : Michèle Larue. Scénario : Pierre Bourgeade et Marie Morel. Montage : Noël Burch. Interprètes : Marie Morel (Médor, le chien) et Pierre Bourgeade (l’auteur). Durée : 5,30 min. Sur le DVD Gala Fur présente, vol. 1 (2006).
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Note : dans cette fantaisie, une belle femme est traitée comme un chien. Ce film a été présenté à la Neue Galerie de Graz (Autriche) dans le cadre de l'exposition Phantom der Lust organisée par Peter Weibel en 2003, l'année où Graz a été élue "capitale culturelle européenne". Et à la « All-night Jacques Henric Visions », en 2003.
Médor et Baud’laire (France, 2003)
Réalisation : Michel Larue. Scénario : Pierre Bourgeade et Marie Morel. Durée : 3,30 min. Sur le DVD Gala Fur présente, vol. 1 (2006).
Un écrivain qui se prend pour Baudelaire éduque promène et place finalement sa chienne Médor dans une pension pour chiens.
Gala Fur présente sur son DVD Gala Fur présente, vol. 1 (France, 2007) ses films courts ainsi que ceux de ses amis cinéastes, dont le documentaire Sm’art de Michèle Larue, avec Jeanne de Berg (Catherine Robbe-Grillet, son esclave Filou, la réalisatrice et actrice Maria Beatty, ses courts métrages La Festivalière tourné au Festival de Cannes avec Deborah Twiss et Le Fantôme du désir tourné à Graz. Le DVD présente aussi deux courts tournés par Gala Fur avec l’écrivain Pierre Bourgeade et Marie Morel dans le rôle du chien et Noviciat (1965), le film culte de Noël Burch, amateur d’héroïnes combattantes.
Durée : 67 min.
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